Pendant mon EMBA à HEC Lausanne l’année dernière, nous avons suivi d’excellentes cours du Leadership Development Program (LDP). On peut se demander : qu’est-ce que le leadership ? Chaque année, de nombreux livres sont écrits sur le sujet ! Dans mes cours, j’ai retenu cette définition :
« Le leadership ne concerne pas uniquement soi-même et la façon dont on dirige les autres ; il consiste à faire en sorte que les autres puissent aussi se conduire eux-mêmes. »
Au cours de ces six sessions sur le leadership, je me suis concentré sur le rôle des managers en tant que leaders et sur l’importance du leadership pour la performance individuelle et organisationnelle. J’ai acquis des insights sur mon propre style de leadership et ma personnalité, et j’ai appris comment améliorer mes capacités d’influence en tant que leader. Vraiment, une expérience exceptionnelle !
Après cela, je souhaite partager et résumer un article très intéressant que j’ai découvert lors de mes cours. L’article s’intitule « La corruption des leaders dépend du pouvoir et de la testostérone ». Mon professeur a participé à la discussion autour de cette thématique. En gros, l’article questionne : « Les personnes en position de pouvoir l’utilisent-elles pour le bien commun ou succombent-elles à ses effets corrupteurs ? »
During my EMBA at HEC Lausanne last year, we had excellent Leadership Development Program (LDP) classes. You might wonder, what exactly is leadership? Every year, countless books are written on the subject! In my classes, I adopted this definition:
« Leadership is not just about yourself and how you lead others; it is about developing others so that they can self-lead. »
Through these six leadership classes, I focused on the roles of managers as leaders and how leadership is essential for both individual and organizational performance. I gained insights into my own leadership style and personality, and I learned how to enhance my influence as a leader. It was truly a fantastic experience!
Having said that, I would like to share and summarize a thought-provoking article I came across during my classes. The article is titled « Leader corruption depends on power and testosterone. » My professor contributed to the discussion around this topic. Essentially, the article explores the question: « Do those in power use it to serve the greater good, or do they fall prey to its corrupting effects? »
Dans cet article, les chercheurs ont étudié comment le pouvoir et les différences individuelles — telles que la personnalité et les hormones — influencent la corruption des leaders. Ils ont constaté que la corruption était à son maximum lorsque le pouvoir du leader et le niveau de testostérone de base étaient tous deux élevés. L’honnêteté influençait le niveau initial de décisions antisociales, mais elle n’a pas protégé les leaders contre l’effet corrupteur du pouvoir.
Cet article m’a donné plusieurs idées que j’ai Extendues à mes 20 années d’expérience dans le secteur corporatif. Ma suggestion est :
« Si vous souhaitez réduire ou prévenir la corruption, intégrez plus de femmes dans vos équipes ! »
In this article, the researchers explored how power and individual differences—such as personality and hormones—impact leader corruption. The study found that corruption was at its highest when both leader power and baseline testosterone levels were elevated. Honesty influenced the initial tendency toward antisocial decisions, but it did not protect leaders from the corrupting effects of power.
This article sparked some thoughts in me, which I’ve combined with my 20 years of experience in the corporate world. My suggestion is:
“If you want to reduce or prevent corruption, get more women onto your teams!”

Women are intelligent and powerful, and many of them are incredible leaders. Generally, women tend to care more and exhibit greater empathy than men, which gives them a significant inner strength. I firmly believe that the 21st century is finally the century of women. They deserve the recognition and equality they have been waiting for for too long—whether in the workplace in terms of jobs, promotions, salaries, or in society at large.
If all countries in the world were led by women presidents, perhaps we wouldn’t live in a perfect world, but it would certainly be a better place!